Les principales questions sur le poisson

poisson pecheur

 

Alors que les ménages tendent à réduire leur consommation de viande (à part la consommation de volaille), le poisson reste toujours source de curiosité de la part des consommateurs. De nombreuses questions émergent, notre équipe tente d’y répondre le plus efficacement possible.

 

Le poisson contient-il du cholestérol ?

Même si la différence est minime, le poisson contient légèrement moins de cholestérol que la viande. Les analyses démontrent que les glucides sont presque absents du poisson, ce qui fait de lui une incroyable source de protéines de choix pour les diabétiques soucieux de la teneur en glucides et lipides de leurs menus. Le poisson est toutefois très riche en sels minéraux, en vitamine A et D mais ne contient pas de vitamine C (que l’on trouve principalement dans les fruits et légumes).

 

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Le poisson « tient-il autant dans l’estomac » que la viande ?

Le poisson se digère bien plus vite que la viande, c’est donc pour cette raison que le « viandard » n’aura pas la sensation de plénitude pour l’après-midi après un déjeuner à base de poisson pourtant copieux. La viande reste plus longtemps dans l’estomac et demande un plus gros effort de digestion, et elle contient des lipides saturés qui sont digérés plus lentement, qui confère le sentiment de « repas accompli ».
Cependant, le diététicien aura plus facilement recours au poisson dans la prescription de régimes adaptés à certaines pathologies telles que le diabète, la goutte, les lithiases rénales et vésiculaires et l’obésité, par exemple.

 

 

Le poisson fait-il grossir ?

Le poisson fait moins grossir que la viande et sa richesse calorique dépend de sa teneur en lipides. Toutefois, il est nécessaire de distinguer les poissons « maigres » des poissons « gras » car là où les premiers apportent entre 80 et 100 calories pour 100 grammes consommés, les seconds apportent entre 180 et 200 calories.
Préférez donc une qualité de poisson maigre comme une dorade par exemple, qui offre une digestion et une mastication facile, qui seront appréciées par les personnes âgées et recommandées pour les malades et opérés digestifs. Prenez quand même garde à la friture qui double la valeur calorique et optez davantage pour le poisson préparé en « papillotes » pour conserver sa digestibilité et son attrait gastronomique.

 

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